CFP
préparation d'un numéro spécial de la revue Angles sur "digital subjectivities" 2017-2018
This issue of Angles, the online journal published by the SAES, aims to examine the evolution of subjectivities and our sense of self in response to digital technologies, apparatuses and practices.
23-30 juin 2016
Du 23 au 30 juin 2016 une semaine de colloque sur la question du posthumain et des subjectivités numériques, et une après-midi en collaboration avec L'Usine Utopik de Tessy sur Vire.
Sous la direction de Sylvie Bauer, Claire Larsonneur, Hélène Machinal et Arnaud Regnauld.
Plus d'informations sur : http://www.ccic-cerisy.asso.fr/posthumain16.html
Wearable technology and apps promise to write our diaries for us. All smartphones measure our movements and location, and many devices do much more. Apps visualize and graph our days using this data that is gathered about us. This presentation will discuss how current automated diaries rewrite our idea of the subject in a digital age, and how they create new regimes of time, where we become subject to the measurements of our machines.
A partir des quatre traits principaux de la culture de l'écran posés par Bertrand Gervais dans sa conférence plénière du colloque de Figura 2014, nous entendons explorer les nouveaux régimes temporels induits par la pulsion scopique qui caractérise la culture de l'écran telle qu'elle est de plus en plus systématiquement mise en fiction.
This study is on the cyborgs and monster-figures that the Korean female artist Lee Bul has created in the late 1990s, from the perspective of feminism and posthumanism. I will first contemplate her early performances using her body, and investigate the meaning of her monsters and cyborgs in the relation of women, body, and technology in dislocated time and space. With the discussing about posthuman and posthumanism, I will consequently reveal Lee Bul’s monsters and cyborgs look forward to the posthuman subjectivity.
14-15 September
10 am to 6pm
Depuis Foucault et son visage de sable, de nombreux philosophes et sociologues ont constaté une fragilisation de l’humain et son possible effacement dans un monde où la nature même du réel est remise en question. Au cours des dernières décennies, de nombreux textes sont venus complexifier la réflexion en la mettant en regard d’une posthumanité. Se repose alors la question de la définition de l’humain, qui semble désormais se penser par une absence, par ce qu’il n’est pas ou ne sera plus.